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UNE DERNIERE ?
Nous apprenons que le secrétaire Régional du CHS 21 (qui n’est pas à la CGT) a présenté sa
démission de cette instance. Ce poste est l’interlocuteur direct des représentants syndicaux avec le
Président du CHS (pour la Côte d’Or c’est notre Directeur Interrégional).
Lassé des pressions incessantes dont il était victime par le Président ou son Staff, il a jeté
l’éponge.
Bienvenue au club.
Par son départ il corrobore ce que nous pensons de ce Président.
Il rejoint le représentant de notre Organisation au CHS qui avait plus tôt déjà fait les mêmes
analyses avec la même décision, poser sa démission.
Il faut savoir qu’il est impossible de travailler en confiance vu les agissements imprévisibles
et la mauvaise foi dont est capable notre Directeur. De même les débats pendant ces réunions sont
des combats incessants. Il faut affronter, parfois pour des peccadilles, aidé par sa cour, un
personnage imbu de lui- même, capable de vous dire les yeux dans les yeux des contres vérités le
matin et vous dire le contraire l’après-midi : épuisant, éreintant, stressant, inintéressant et contre
productif.
Nous aurions aimé que l’ensemble du CHS fasse comme son secrétaire.
Nous espérons que ce sera le dernier fait d’armes de ce président...
Salut L’artiste.
Le temps presse (pour les riches)
Macron est arrivé, et, contrairement à Zorro, en se pressant.
D’entrée, il injecte onze vaccins aux bébés. Si on ne sait pas ce qu’en pensent les récipiendaires, ils
verront le résultat plus tard. On sait par contre le satisfecit que cela procure aux pauvres laboratoires
pharmaceutiques dans lesquels la Ministre de la Santé est passée.
Il a fait voter aux forceps et au pas de charge les ordonnances sur la réforme du Code du Travail, sans
aucun débat parlementaire. Les députés d’En Marche avaient pour consigne de rejeter tous les amendements
(même ceux pour lesquels ils pouvaient éventuellement être d’accord) sous peine de représailles. On a vu à
cette occasion les sourires sarcastiques des Présidents de commission des Lois devant cette démocratie
bâillonnée.
La casse du Code du Travail est en passe d’être adoptée en mois de 6 mois de Présidence. Plus de 100
ans d’évolutions de droit affinées pas à pas pour coller aux évolutions de la société détruites pour relancer
l’embauche en facilitant le débauchage : dur à comprendre et expliquer !
Flexibilité par possibilité de licencier plus facilement, plafonnement des indemnités prud’hommales,
reconduction des contrats précaires. Des observateurs craignent notamment qu’avec les nouveaux dispositifs
on assiste à des purges massives et collectives dans les entreprises pour supprimer des CDI et les remplacer
par des CDD limités à des missions. Nous aurons donc moins de chômeurs mais plus de travailleurs pauvres,
soit un transfert de Pôle Emploi vers les Restos du Coeur ou le Secours Populaire.
Belle société qui construit des terroristes en puissance par la désespérance.
L’Allemagne en est un symbole, où le taux de pauvreté est grimpé à 23% (10% en France). Aux Pays
Bas, où la flexibilité est la norme (1/3 de l’emploi est flexible), on revient sur ces dispositifs mis en place
Nous apprenons que le secrétaire Régional du CHS 21 (qui n’est pas à la CGT) a présenté sa
démission de cette instance. Ce poste est l’interlocuteur direct des représentants syndicaux avec le
Président du CHS (pour la Côte d’Or c’est notre Directeur Interrégional).
Lassé des pressions incessantes dont il était victime par le Président ou son Staff, il a jeté
l’éponge.
Bienvenue au club.
Par son départ il corrobore ce que nous pensons de ce Président.
Il rejoint le représentant de notre Organisation au CHS qui avait plus tôt déjà fait les mêmes
analyses avec la même décision, poser sa démission.
Il faut savoir qu’il est impossible de travailler en confiance vu les agissements imprévisibles
et la mauvaise foi dont est capable notre Directeur. De même les débats pendant ces réunions sont
des combats incessants. Il faut affronter, parfois pour des peccadilles, aidé par sa cour, un
personnage imbu de lui- même, capable de vous dire les yeux dans les yeux des contres vérités le
matin et vous dire le contraire l’après-midi : épuisant, éreintant, stressant, inintéressant et contre
productif.
Nous aurions aimé que l’ensemble du CHS fasse comme son secrétaire.
Nous espérons que ce sera le dernier fait d’armes de ce président...
Salut L’artiste.
Le temps presse (pour les riches)
Macron est arrivé, et, contrairement à Zorro, en se pressant.
D’entrée, il injecte onze vaccins aux bébés. Si on ne sait pas ce qu’en pensent les récipiendaires, ils
verront le résultat plus tard. On sait par contre le satisfecit que cela procure aux pauvres laboratoires
pharmaceutiques dans lesquels la Ministre de la Santé est passée.
Il a fait voter aux forceps et au pas de charge les ordonnances sur la réforme du Code du Travail, sans
aucun débat parlementaire. Les députés d’En Marche avaient pour consigne de rejeter tous les amendements
(même ceux pour lesquels ils pouvaient éventuellement être d’accord) sous peine de représailles. On a vu à
cette occasion les sourires sarcastiques des Présidents de commission des Lois devant cette démocratie
bâillonnée.
La casse du Code du Travail est en passe d’être adoptée en mois de 6 mois de Présidence. Plus de 100
ans d’évolutions de droit affinées pas à pas pour coller aux évolutions de la société détruites pour relancer
l’embauche en facilitant le débauchage : dur à comprendre et expliquer !
Flexibilité par possibilité de licencier plus facilement, plafonnement des indemnités prud’hommales,
reconduction des contrats précaires. Des observateurs craignent notamment qu’avec les nouveaux dispositifs
on assiste à des purges massives et collectives dans les entreprises pour supprimer des CDI et les remplacer
par des CDD limités à des missions. Nous aurons donc moins de chômeurs mais plus de travailleurs pauvres,
soit un transfert de Pôle Emploi vers les Restos du Coeur ou le Secours Populaire.
Belle société qui construit des terroristes en puissance par la désespérance.
L’Allemagne en est un symbole, où le taux de pauvreté est grimpé à 23% (10% en France). Aux Pays
Bas, où la flexibilité est la norme (1/3 de l’emploi est flexible), on revient sur ces dispositifs mis en place
