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  • Posté le 14 septembre 2021.

Humeurs en surveillance !

Certains agents de la surveillance ont fait le choix de rester à la DIPA et de ne pas être temporairement redéployés en province.

En cette fin d’été, les collègues restés à la DIPA sourient jaune, quelqu’un à la direction entend-il la sourde colère qui monte ?

Depuis les départs en redéploiement V2, les mutations et les réussites aux concours, les terminaux restés ouverts ont dû tourner en effectifs réduits, voire en sous-effectifs
Pourtant, ces mêmes collègues restés à la DIPA n’ont pas été inactifs, on peut même dire que l’activité a été soutenue avec plus de missions donc plus de contentieux, des contrôles sur les sites OPCO (Banale, Fedex, CDP), des opérations de contrôles renforcées, des contrôles à l’export pour certains et une nouvelle mission de « planton » lors des vols de rapatriés de Kaboul.

Certains diront qu’ils ont simplement continué à faire leur travail.Certes, mais dans des conditions très particulières et nous le répétons, avec des effectifs réduits voire en sous effectif empêchant parfois de couvrir certaines zones de contrôle.

Heureusement, en cette fin d’été, les redéployés sont de retour mais, il semble qu’un manque d’anticipation (l’incompétence étant exclue) va encore laisser un goût amer aux agents non redéployés mais aussi à ceux revenant sur Roissy.

Posant légitimement leurs CA non consommés durant la période estivale, les collègues ne seront pas immédiatement présents dans les unités creusant un peu plus le fossé entre redéployés et non redéployés.

M. le directeur, au moment des arbitrages pour l’octroi des primes sur la manière de
servir 2021, la CGT vous demande de ne pas oublier vos agents surv de la DIPA non
redéployés, nous pensons qu’ils le méritent vraiment.

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