Le SNAD CGT Île-de-France ne siégera pas aujourd’hui pour la tenue du CSAL. Il y a plusieurs raisons à cela.
Tout d’abord le contexte politique. Quel intérêt de sièger sans budget, sans gouvernement, sans ligne politique claire. Très peu selon nous.
Par ailleurs notre présence ne semble pas indispensable selon certains responsables de notre DI puisqu’ils estiment que reconvoquer une FSS à Paris le jour de l’assemblée générale de la section IDF CGT, prévue de longue date, ne pose pas de problème. On pourra prétexter des problèmes de calendrier. Ces problèmes de calendriers sont les mêmes pour tous et nous pensons que quand on veut faire autrement on peut. La reconvocation de ce CSA en est la preuve. Elle est respectueuse de notre assemblée générale. En tout cas ce genre de décisions est une première en IDF et si le cas se représente pour n’importe qu’elle organisation syndicale, par principe et solidarité, nous refuserons de siéger. A bon entendeur.
Une autre raison de notre absence est l’ordre du jour de ce CSA. Sans grand intérêt. S’autocongratuler sur les JO, signer un ou deux PV de CSA, faire un point sur l’immobilier ne nous semble pas à la hauteur des enjeux du moment. Nous aurions aimé aborder des sujets qui intéressent beaucoup plus nos collègues, les bureaux ou brigades en souffrance, le manque de reconnaissance, les innombrables irritants qui pourrissent la vie des douaniers sans que notre administration soit en capacité de prendre la moindre décision de nature à améliorer concrètement le quotidien des agents. Nous allons vous en citer quelques uns. Pas tous tant la liste est longue. Quelques uns simplement. (Lire la suite...).
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