Ci-dessous, vous trouverez le compte rendu du CSAL d’IDF qui s’est tenu le 29 janvier 2024.
Transformation de la BSITM en BSETM
La transformation de la brigade en BSE va entraîner des modifications de gestion.
Ainsi, le volume d’heures d’avance d’avance sera porté à 60 heures au maximum, contre 40 heures précédemment.
De même on constate que nombre d’heure de nuit a déjà augmenté.
Le régime indemnitaire des agents en place avant la transformation sera maintenu jusqu’à fin juin 2025.
Des discussions avec le ministère des transports sur la sûreté sont sur le point d’aboutir et clarifieront les prérogatives des agents.
Si les effectifs de référence sont de 87 agents, la réalité après le départ des Paris-spé, est bien différente. Les effectifs réels sont d’environ 70 agents ce qui ne permettra pas d’effectuer correctement le missions LCF puisque les missions de supervision de la sureté, la détaxe et la taxation restent prioritaires. Pendant les vacances de Février on constate déjà que les missions LCF sont quasi inexistantes. Quand les Paris-spé étaient présents il y avait 2 voir 3 missions LCF par jour sur les créneaux 7h-15h ; 10h-18h ; 13h-21h. De plus certains jours de février (des Week-end essentiellement) il n’y aura plus assez de monde pour la mission import 8h-16h (taxation et carnets ATA sur les arrivées Eurostar de Londres) donc ce sont les collègues de taxation/supervision sûreté qui devront gérer les 2 missions !!
Cet état de fait est contraire à toutes les promesses de la DG sur le fonctionnement de la nouvelle brigade.
Pour toute l’île de France, sur les 28 demandes pour combler les vacances d’emplois Surv seulement 18 arrivées sont prévues. Cela ne laisse ne laisse rien augurer de bon pour l’avenir.
Dors et déjà des collègues s’interrogent sur l’opportunité de rester dans cette brigade et l’attractivité de celle-ci pose déjà question.
Point JO Pas d’annonces fracassantes !
Comme on pouvait s’y attendre et suite à l’annulation du GT prévu à la DG le 1er février il n’y a rien de bien concret à se mettre sous la dent. Le sujet de la prime JO n’est pas traité dans cette instance mais le DI nous a dit clairement que la prime JO concernera exclusivement la branche surveillance sur laquelle pèsera des contraintes, notamment en matière de congés.
De plus, si des solutions de garde en crêche ou des colonies de vacances seront proposés il n’y a rien de concret pour les enfants qui sont en maternelle, primaire. Nécessité d’informer les colllectivités du statut prioritaire des agents des douanes dans le cadre des JO
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Rappel : l’annonce de la mutuelle des douanes qui prendra en charge à hauteur de 50 % les frais de garde pour les enfants des douaniers franciliens mobilisés pour les JO. Le DI à d’ailleur demandé aux correspondants sociaux d’établir une liste de tous les dispositifs existants en matière de garde et de financement. Pour l’instant 27 demandes en matière de crêches et colonies ont été déposées.
Des plateaux repas seront envoyés pour les agents sur les points de contrôles.
Manifestement, un bureau déporté dans le village olympique sera mis en œuvre (2 à 3 jours de présence autour de la fin des JO et des paralympiques). Ce bureau devrait-être armé par des collègues (6 agents) de Paris-Est formés à la détaxe. Un deuxième point déporté pourrait être envisagé auprès de Saint-Quentin mais ce n’est pas tranché.(Lire la suite...)
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