Groupes de travail

• Posté le 31 mai 2024.

Réunion technique : Habillements/équipements

Cette réunion associait les OS aux représentants de la Sous-direction FIN, FIN2, Réseau 3, et Réseau 2.
Pour l’occasion, le vestiaire OPCO, et les nouveaux effets SURV étaient mis à disposition des représentants du personnel.

En amont de la réunion, le SNAD CGT a salué la démarche associative de la DG sur la question de l’habillement, via l’identification de référents, les « ateliers utilisateurs », et la prise en compte des éléments d’améliorations évoqués au cours des RT. Il est regrettable que ce mode opératoire ne soit pas appliqué sur d’autres thèmes (mise en place des camionnettes scanners par exemple, et tous les sujets SURV qui ont fait l’objet de discussions durant un an et dont le nouveau DG a décidé de ne rien faire, ce qui est totalement irrespectueux pour les représentants du personnel, pour ses propres équipes mais avant tout pour les douaniers de la surveillance).

Déploiement du vestiaire OP/CO

Tous les agents CO amenés à contrôler en extérieur ont droit à ce vestiaire qui se compose d’effets vestimentaires et d’équipements de protection individuels (EPI). Ce vestiaire se décline par contextes de travail (zones portuaires, aéroportuaires, climats chauds et froids notamment).

Les effets sont référencés dans le catalogue UGAP qui est accessible toute l’année.
Au total, ce catalogue comporte 73 références : parkas, vestes polaires, tee-shirt, sac à dos, pantalons de pluie, lunettes, gants, casquettes, brassards, chaussures, guêtres ainsi que divers EPI (masques, lampes torches, casques…). Un tour de cou et une veste multi-poches ont été ajoutés dernièrement.
A la date du 30 mars 2024, les dépenses s’élevaient à environ à 300k€ TTC.

Pour le SNAD CGT, le déploiement de ce vestiaire est une réelle avancée. Des améliorations restent possibles, notamment au sujet du catalogue UGAP : les collègues regrettent l’absence d’un outil individuel de commande et de suivi, car actuellement c’est l’encadrement qui doit gérer les commandes de chaque agent. En outre, les photos « non contractuelles » font craindre aux collègues des surprises à la livraison, surtout que le catalogue ne fait pas de distinguo F/H concernant les effets présentés.(Lire la suite...)