Les trois directions de la DI Occitanie ont subi depuis plusieurs années la valse des réformes et la fragilisation de nombreuses structures OPCO avec toujours plus d’effectifs à rendre année après année.
Les politiques du PSD de 2012 à 2018 avaient déjà obtenues leurs effets pernicieux, avec la concentration des TIC sur certains services, le transfert du dédouanement local dû à la concentration nationale, la chute vertigineuse de la prescription de contrôle à destination des bureaux (hors grands centres) et la perte de la taxe à l’essieu.
Années après années, de nombreuses structures douanières de l’interrégion ont été fragilisées au point d’être aujourd’hui amenées à un seuil critique pour leur survie. Et ce ne sont pas les débats du groupe de travail du 28 avril relatifs au transfert des missions fiscales douanières à la DGFIP qui pourront rassurer nos collègues..... (lire la suite)
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