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  • Posté le 3 janvier 2020.

Depuis le début du confinement...

Jeudi 2 avril

  • Conformément aux échanges qui se sont tenus en audio,je vous prie de trouver le message ci joint relatif aux agents en situation d’ éloignement de leur résidence administrative :

"La direction générale a été interrogée sur la mobilisation des agents connaissant un fort éloignement de leur lieu de travail.

Compte tenu des principes généraux liés à la branche surveillance, notamment en matière de disponibilité et de permanence, il convient de distinguer les réponses pour les agents des deux branches.

Pour les agents de la branche OP/CO, il convient de privilégier, lorsque c’est possible, le télétravail.
Toutefois, pour les activités en présentiel et dans l’esprit des consignes gouvernementales de confinement, lorsqu’il existe une distance journalière de plus de 100 km entre le domicile d’un agent et son lieu de travail, ce critère pourra, en tant que de besoin et temporairement, permettre d’étudier l’intérêt d’un possible rattachement de l’agent au bureau le plus proche de sa résidence familiale à la double condition que le besoin fonctionnel soit réel dans ce bureau d’accueil et que le travail en présentiel y soit également requis.

Pour ce faire, il incombe à l’agent de se rapprocher de son pôle RH, en lien avec sa hiérarchie, qui examinera sa situation en lien avec la hiérarchie du bureau d’accueil présumé.
Dans ces situations exceptionnelles, les personnes reconnues éligibles au dispositif seront pris en charge par le pôle RH de la DI d’accueil qui se chargera de leur suivi et de la désignation de leur éventuelle service d’accueil.

Pour les agents de la branche surveillance, le principe général reste la disponibilité, bien sûr selon un délai raisonnable qu’il appartient au directeurs interrégionaux de définir, notamment en fonction du lieu de domiciliation et de la nature des missions.

Ces éléments sont également portés à la connaissances des directeurs inter régionaux.

  • Recensement DGDDI au 1er avril au soir : 2406 agents présents dans les services, 460 agents en quatorzaine (360 SU et 100 CO) et 279 agents malades (173 SU et 106 CO)
  • Les organisations syndicales demandent à ce que les marins devant appareiller sur le patrouilleur puissent bénéficier d’un test avant de partir en mission ainsi qu’à leur retour. Espérons que la DNGCD accède à leur demande.

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